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Un business plan pour les amener tous et dans les ténèbres les lier

Nuova Malattia

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Références

Contributeurs

Contenu de l'ouvrage

Matériel

Livre de 160 pages à couverture souple.

Description

Nuova Malattia est la conclusion des chroniques des Giovanni, dont les trois précédents épisodes sont :

Comme les précédents volets, il est publié sous l'étiquette "Black Dog", la collection pour adultes de White Wolf.

Ce scénario introduit une rupture dans la continuité de la série : les joueurs vont abandonner leurs anciens personnages, qui avaient traversé les siècles depuis la fatidique année 1444.

Dans le premier acte, First Communion, qui se déroule à Boston en 1929, les joueurs vont interpréter des mortels qui rejoindront une branche de la famille Giovanni. Au cours des trois actes suivants, The Blood of Her Enemies, Test of Faith, et To Everyone Who Conquers, qui se déroulent respectivement en 1959, 1972, et 1999, les PJ auront l'occasion de progresser au sein de la famille Giovanni et de la société des vampires. Leurs opposants seront nombreux : mortels, Camarilla, Sabbat, Inquisition, Enfants d'Isaac, et Cappadocius lui-même, de retour sous forme de spectre.

Deux appendices sont fournis, l'un couvre les PNJ rencontrés, l'autre dépeint Boston.

Cette fiche a été rédigée entre le 8 mai 2000 et le 8 mai 2009.  Dernière mise à jour le 23 février 2021.

Critiques

Deadelvis  

Le meilleur de la saga Giovanni et de loin, il n'était pas difficile de faire mieux que les tomes précédents ceci dit.

A quatrième tome quatrième auteur donc, et cette fois on ne s'en plaindra pas. Premier choc : les joueurs changent de personnages, leurs anciens alter egos devenant des PNJ ennemis. Certains détesteront cette idée, pas moi vu que je trouve comme l'auteur qu'une chronique d'anciens n'a guère de sens, à noter cependant qu'il oublie ses propos puisque la coterie qui selon lui n'a plus de raison d'être se regroupe dans l'aventure.

Deuxième choc : ils passent du côté de l'ennemi puisqu'ils vont devoir jouer des Giovannis, humains, puis goules pour finir vampires. Commencer humain et devenir goule permet aux joueurs avides de roleplay de jouer un personnage qui perd lentement sa précieuse humanité : le premier chapitre comprend des scènes à faire jouer pour que les joueurs soient mis face à leur nouvelle nature.

Troisième choc : il y a un scénario. Là l'auteur m'a bien eu. En effet qui aurait pu encore croire que les auteurs made in White Wolf savaient développer une histoire après les catastrophes qu'ont pu être les trois premiers tomes ? Le scénario commence de façon modeste, les personnages découvrant un peu leur nouvelle "famille", il reste centré sur un seul lieu, Boston - à noter que le supplément Dark Colony peut aider mais est loin d'être requis - pour prendre plus d'ampleur à mesure que l'intrigue se rapproche des événements des tomes précédents.

Plusieurs regrets toutefois : Il faut aimer les giovannis et la mafia pour jouer cette chronique. La fin est bâclée, ce qui est vraiment dommage au vu du début. Manque de place probablement. Cette place aurait pu être gagnée si l'auteur ne s'était pas autant attardé sur certaines descriptions dispensables. Un PNJ important et récurrent des chroniques Giovannis meurt lamentablement : et paf le vilain Giovanni sort de sa poche une bille qui fait huit aggravés non encaissables à tout vampire qui la touche... alors que son rôle aurait dû être exploité lors de la conclusion. Les PJs pataugent trop longtemps dans la semoule s'ils n'ont pas joué les parties précédentes de la saga. Problème, avant le tome 4 c'est injouable. Les illustrations vont du très bof au moche.

Beaucoup de boulot pour le MJ puisqu'il est recommandé de connaître l'histoire de la mafia des années 20 à nos jours pour faire jouer cette aventure. Plus le boulot pour combler les vides entre les quatre actes.

Les éditions mentionnées sont celles de la version originale. Vous avez décelé une erreur ou une correction nécessaire, ou encore vous souhaitez compléter la description ? N'hésitez pas à contacter la passerelle !

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Critiques

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