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L'appel de tout lu

Toxicity

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Références

  • Gamme : I Am Zombie
  • Sous-gamme : Toxicity
  • Version : première édition
  • Type d'ouvrage : Livre de base
  • Editeur : Make Believe Games
  • Langue : anglais
  • Date de publication : septembre 2017
  • EAN/ISBN : 978-1-943278-13-8
  • Support : Papier
  • Disponibilité : Paru

Contributeurs

Contenu de l'ouvrage

Matériel

Boîte au format A5 contenant :

  • 3 livrets à couverture souple au format A5 (36 pages chacun)
  • 1 écran rigide de trois volet format A5 paysage
  • 2 paquets de 54 cartes en noir et blanc
  • 8 dés spéciaux
  • 8 tirées-à-part cartonnés au format A5
  • 8 autocollants
  • 1 flyer publicitaire

Description

Toxicity est un jeu autonome dans l’univers de I Am Zombie. Il se présente comme la réédition à l’identique d’un jeu de 1977, écrit et publié par des auteurs et un éditeur fictif, mais existants dans l’univers du jeu, et s’inspirant de l’édition originale du Toxic Field Manual. Le but avoué de Toxicity est d’adapter I Am Zombie pour en faire un jeu OSR (Old-School Renaissance).

Il en reprend l’univers en se focalisant sur l’exploration des Hellholes. Ce sont les donjons du jeu : de vastes souterrains saturés d’odium, situés sous les hospices. Ce sont les antres des utukkus et de leurs rejetons… que B.L.E.A.C.H. a parfois assaini à l’aide d’une petite bombe atomique, en espérant vainement détruire toute trace du virus Amirani. Certains secrets et trésors y demeurent, ainsi qu’une faune et une flore monstrueuses transformées par l’odium ou les radiations.

Le système de résolution, l’Axiom system, est entièrement réécrit, en 36 « axiomes » au lieu des 27 classiques. Quelques modifications y sont apportées : une gestion de la marge de réussite sous la forme d’actions spéciales (feats) secondaires, des déplacements de figurines sur un plan quadrillé et une plus grande importance de l’équipement apportant une action spéciale et figurant sur les cartes de personnage.

Le premier livret, Player axioms : toxics & toetags, est consacré au système de résolution. Il s’ouvre sur une page de titre (1 page), un sommaire (1 page) et sur une préface, prétendument datée de 1977, où l’auteur fictif explique l’histoire éditoriale imaginaire du jeu et son objectif (1 page). Les parties qui composent le livret sont :

  • Toxic Earth (1 page), un résumé de l’univers du jeu.
  • Gaming Equipment (1 page), précisant le matériel utile à la partie.
  • Game Axioms (28 pages), le système de résolution (création de personnage, le combat, les vecteurs…) en 17 « axiomes ».
  • Game Terms (2 pages), le lexique du système de jeu.
  • Credits (1 page).

Le second livret, Narrator Axioms : Skags & Shamblers, regroupe les conseils au Narrateur et le bestiaire. Il s’ouvre sur une page de titre (1 page) et un sommaire (1 page). Il comporte deux parties :

  • Narrators Axioms (19 pages), 19 nouveaux « axiomes » à destination du Narrateur, numérotés de 18 à 36. Ils apportent des conseils, sur la préparation de la chronique et l’écoute des joueurs, et de nouvelles règles telles que : la gestion de la lumière dans un souterrain, des dégâts de chute, de la rage berzerk, des contacts des PJ, de l’expérience, des syndromes (des malus provenant de blessures importantes), des niveaux de miasme (l’odium imprégnant lieux et objets) d’un hellhole, des portes, des pièges, de la surprise lors d’une embuscade, des serviteur skags, du niveau d’un Hellhole, des « fiendz » (monstres errants), de l’équipement, des objets corrompus par l’odium (fonctionnant comme des artefacts magiques), des « mooks » (les PNJ ennemis).
  • Fiendz List (15 pages) est un bestiaire. Il propose plusieurs catégories : rashi (animaux zombies), golem-rashi, carrionfiends (des utukku larvaires), B.L.E.A.C.H., Xenofactors (agents d'une puissance extra-terrestre), Inquisition/Null foundation, meat-street people (des humains classiques), toxic, skags. Chaque catégorie propose les caractéristiques de plusieurs créatures.
  • Credits (1 page).

Le troisième livret, World Book : Undercity & Hellholes, permet au Narrateur de créer les lieux qui accueilleront ses scenarios. Il s’ouvre sur une page de titre (1 page) et un sommaire (1 page). Il comporte cinq parties :

  • The Up-top (3 pages) donne des conseils pour peupler les villes de la surface. Une liste de lieux en lien avec les toxics est donnée, suivies de quelques contacts et rencontres possibles.
  • The Undercity (7 pages) donne des conseils au Narrateur pour créer et peupler les villes souterraines. Une liste de lieux en lien avec les toxics est donnée, suivies de quelques contacts et rencontres possibles. Le chapitre se conclut par un court scénario (3 pages) présentant Kowloon Warren, situé sous New-York. Les PJ y seront testés par le Sheikh Jaune qui leur confiera une mission de convoyage dans les sous-sols.
  • Hellholes (6 pages) décrit brièvement lesdits hellholes et donne des conseils au Narrateur pour les créer et les peupler. Une liste de lieux est donnée, suivies de quelques dangers, rencontres possibles et objets qui peuvent s’y trouver.
  • The Scumball 500 (8 pages) est un scénario, pour des personnages de niveau 5, se déroulant dans un hellhole de New York communiquant avec Kowloon Warren. Les PJ seront employés par un toxic puissant pour lui rapporter un objet de valeur.
  • Tox-speak (6 pages, dont une illustration pleine page) est un glossaire des toxics.
  • Credits (1 pages), précédés d’une double page d’illustration.

L’écran comporte une illustration au verso. Au recto, le panneau de gauche fournit trois tables aléatoires aidant à l’improvisation de scenarios (intrigue, retournement de situation, intensifier la scène). Le panneau central contient une table aléatoire de personnalité pour les PNJ, des conseils au narrateur, une table de difficulté et des exemples de test de trait. Le panneau droit reprend les caractéristiques des armes et armures et propose des tables aléatoires pour le niveau des monstres errants, leurs réactions et le type d’opposants.

Les 2 paquets de cartes servent à créer le personnage des joueurs. Elles sont différentes de celles du Play Kit. Outre leur design, ses archétype ou trope, traits, compétences, citations… apparaissent sur les deux faces ainsi qu’un portrait d’un contact du personnage, une liste d’équipement remplace ici la capacité spéciale. Le recto représente la face « chaude » et le verso, la face « froide » utilisée lorsque le personnage est blessé.

  • Un paquet comporte les 54 cartes « Breather », déterminant le passé du personnage lorsqu’il était vivant. Les archétypes ou trope y sont en partie différents du ceux du Play Kit .
  • Un second paquet comporte les 54 cartes « Toxic », déterminant les acquis du personnage au sein de la société des toxics : souches, cartels, rackets, statuts et syndromes, identiques à ceux du Play Kit .

Les 8 dés à six faces sont spéciaux, adaptés aux règles : le 5 est remplacé par deux os croisés, le symbole « Chaw » correspondant à un effet négatif en jeu, et le 6 par un cerveau, le « Brainz » apportant un effet positif.

Les 8 tirées-à-part d’illustrations comportent, sur leur verso, un texte d’ambiance ou un fac-similé (lettres, petite-annonce, affichette, article de presse, avis de recherche).

Un flyer fait la publicité du jeu Revolutionaries, du même éditeur.

Cette fiche a été rédigée le 22 juin 2020.  Dernière mise à jour le 7 juillet 2020.

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